(...)

Et crever de sommeil a force d'abandon.  
Y laisser son souffle.
Egrener dans la nuit d'ébène des frissons silencieux. 

Refermer la  parenthèse d'un pâle sourire fatigué. 
Sombrer dans un profond néant  sans rêve ni angoisse.

Commentaires

Anonyme a dit…
J'adore!

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