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Balayant le trottoir de mes souvenirs d’enfant
De drôles d’images déboulent, le cœur a contre-champ
De drôles d’images déboulent, le cœur a contre-champ
Tous ces instants de vie, cette tendresse empilée
Se fondent et s’entremêlent, dessinent ton
portrait
Il me faut rassembler d’aussi loin que possible
Les notes de ta voix pour qu’elle ne s’éparpille
Dans les dédales du temps et me laisse orpheline
De cette grave douceur, de cette bienveillance
Encore un jour étrange, une sensation de vide
Rendez-vous ponctuels avec une ou deux rides
Qui racontent notre histoire, ta vie et puis l’après
Te garder en-dedans, l’écrire et puis danser.
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